bon, on sait bien qu'elle est belle dans ce film (ce soir sur Arte), à part cette touffe horrible sur la tête, un look impécable années 60, mais sincèrement insupportable. Je ne sais pas ce que Louis Malle lui a demandé, mais elle ne fait que soupirer ou crier et parle comme si elle lisait un texte. Elle semble fausse, sauf quand elle est souriante. Bizarre coincidence que dans la caractéristique principale de son rôle, le désespoir, elle joue si mal. Mais quand même, l'atmosphère de ces films des années 60 a quelque chose de tellement cinémaesque, si ce mot existe. Et surtout, on ne s'embrasse pas, ou qu'une fois dans le film, pauvre Mastroiani. Bardot est toujours a moitié nue au lit, mais lui habillé jusqu'au chaussettes.
Brigitte Bardot et Marcello Mastroianni dans "Vie Privée" de Louis Malle, 1961
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