orte können sehr konkret existierende plätze sein, aber auch sehr unkonkrete, eher einen gewissen zustand ansprechend, wie vielleicht das paradies (auf erden oder nicht). alles wird gleichermaßen in das "magazin über orte" aufgenommen. für die aktuelle ausgabe des magazins, wurden unter anderem beiträge der regisseurin/schauspielerin/künstlerin miranda july und des fotografen ryan mcginley aufgetan und auch ein text von hans magnus enzensberger findet sich in den auf etwas gräulichem naturpapier gedruckten magazin wieder. ins leben gerufen wurde es von drei fotografie-studenten der staatlichen fachakademie für fotodesign münchen.
un lieu peut être bien concret, mais tout aussi abstrait, décrivant plutôt un certain état d'âme, comme éventuellemen le paradis (sur terre ou non). le magazin über orte (magazine sur les lieux) les regroupent tous. pour le numéro actuel, les éditeurs ont entre autres dénichés des textes de miranda july, des photos de ryan mcginley ou un poème d'un des grands critiques médiatiques/écrivains/lyriques allemands, hans magnus enzensberger. tout cela sur du papier légèrement gris, très nature. le magazine a été crée par trois photographes de l'académie de design photo de munich. voila les lieux que j'ai aimé:
un lieu peut être bien concret, mais tout aussi abstrait, décrivant plutôt un certain état d'âme, comme éventuellemen le paradis (sur terre ou non). le magazin über orte (magazine sur les lieux) les regroupent tous. pour le numéro actuel, les éditeurs ont entre autres dénichés des textes de miranda july, des photos de ryan mcginley ou un poème d'un des grands critiques médiatiques/écrivains/lyriques allemands, hans magnus enzensberger. tout cela sur du papier légèrement gris, très nature. le magazine a été crée par trois photographes de l'académie de design photo de munich. voila les lieux que j'ai aimé:
mir gefielen unter anderem besonders die fotos der gärtner der niederländischen fotografin noor damen. ein man(n), ein garten, ein glück...un homme, un jardin, le bonheur
ryan mcginley inspirierte das "paradies" eine grotte mit menschen zwischen nacktheit und stalaktiten. körperliche freiheit und warmzeichnende rottöne...wie so oft bei dem englischen fotografen. comme toujours pour mcginley, les models sont nus, entre stalactites, liberté sexuelle et un un ton rouge et chaud...son paradis à lieu (ah, j'ai voulu écrire lui, mais la faute de frappe n'est pas si mal que ca)
auch die bilder des künstlerduos peter fischli/david weiss hatten die blumen als hauptakteur. seit 1979 arbeiten die beiden zusammen und adaptieren alltagsgegenstände in künstlerischem kontext neu, mal in der fotografie, der plastik oder dem film. le paradis, il y a quelque chose avec les fleurs là j'ai l'impression.
wer paradies sagt, sagt auch tod...scheint zumindest der kanadische fotograf jeff wall zu meinen. sieht aus wie ein zufallsschluss, ist es aber nicht. qui dit paradis, dit mort...du moins c'est ce qu'a l'air de penser le photographe canadien jeff wall. on dirait une photo spontanée, mais loin de là...
mir fiel gerade ein, woher ich jeff wall kenne-je viens de me rappeller d'oú je connais jeff wall: HERE
mir fiel gerade ein, woher ich jeff wall kenne-je viens de me rappeller d'oú je connais jeff wall: HERE
am besten gefielen mir jedoch die worte des englischen künstlers kevin coyne, der 2004 in nürnberg starb. voila mon préféré, un poèm de l'artiste anglais kevin coyne, mort en 2004:
Skinhead in Heaven© kevin coyne
It's alright here. The sofa's
got no holes in it and
the wallpaper's of a nice snotty pattern.
Nobody's objecting to my presence.
I don't need to
knock anybody about. I
think I'm appreciated for
what I am, listened to.
I had dreams about this place
when I was sleeping rough.
Bill (he was my best mate before
he topped himself) said
there was always a possibility of
dreams coming true. I think
he was fuckin' right. The only thing
I miss is my boots. Who
took them off?
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