«Je ne veux pas gagner ma vie, je l’ai.» Boris Vian, L'écume des jours

3/13/2013

NO wonder

Javier Bardem in To the Wonder, Terence Malick
der einzige reiz an terence malicks letztem bilderepos ist javier bardem als hochgeschlossener priester und das auch beinahe nur, weil man ihn sich die ganze zeit als blonden bösewicht vorstellt.

l'unique raison de voir la dernière épopée visuelle de terence malick serait encore javier bardem en col montant de prêtre, quoi qu'en fait on ne peut s'empêcher de se le remémoriser sans cesse en maléfique blond.

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