«Je ne veux pas gagner ma vie, je l’ai.» Boris Vian, L'écume des jours

11/11/2013

hypnotisch/hypnotique

Artavazd Pelechians Film Fin von 1991 hat hypnotische Wirkung auf mich, der Blick dringt tief ins Bild, als wenn ihn ein Hypnotiseur anziehen würde, der Körper lehnt sich nach Vorne, man schaut jedem Fahrgast tief in die Augen und beinahe schläft man auch mit dem kleinen Mädchen in den Armen der Mutter ein. Währenddessen zieht einen die monotone Rhythmik des fahrenden Zuges immer weiter in den Lichttunnel hinein.
Le Film Fin d'Artavazd Pelechian de 1991 a un effet hypnotique sur moi et sur mon corps, le regard est absorbé par l'image comme par un hypnotiseur, le corps se penche légèrement en avant, on se perd dans chaque regards de voyageurs et on s'endort presque avec la petite fillette sur les bras de sa maman. En même temps, la monotonie rythmique du train nous attire de plus en plus dans le tunnel lumineux. 

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