«Je ne veux pas gagner ma vie, je l’ai.» Boris Vian, L'écume des jours

11/28/2012

Rémi et sa cousine Jeanne, 1926

Rémi et sa cousine Jeann, 1926
Fundstück auf einer Brocante im Marais. Zunächst dachte ich, es seien Zwillinge. Mir gefiel gleich der identische Pagenschnitt und der Partnerlook. In ihren Blicken könnte es auch ein älteres, gesetztes Paar sein, der kleine Junge links schaut bereits jetzt sehr gelassen und wohlwollend in die Kamera, das Mädchen zu seiner Rechten, Cousine Jeanne, könnte die unglücklich Hausdame spielen, es könnte sie aber auch einfach noch unglücklich machen, den selben Pullunder wie Cousin Rémi tragen zu müssen: tragisch für die persönliche Modeentwicklung!!! Als nächstes muss ich ein Bild der beiden einige Jahre später finden, falls sich also jemand wiedererkennt...
Écume d'une brocante dans le Marais. Au premier coup d'oeil je pensai que c'était des jumeaux. J'ai tout de suite aimé la coupe de page (on peut dire comme ca en francais?) identique et le look partenaire (mot qui n'existe comme ca qu'en allemand, car le look identique de partenaires et bien un phénomène très germanique). Par leur regards cela pourrait être un couple âgé, aisé, le petit garcon à gauche a le regard déjà très serein et la fille à sa droite, cousine Jeanne, pourrait très bien jouer la dame de maison malheureuse, d'un autre côté elle pourrait aussi être mécontente du fait de porter le même débardeur en leine que le cousin Rémie: fait tragique pour le développement personelle de la mode!!! Maintenant il ne me reste plus qu'à trouver une photo des deux quelques années plus tard: si jamais quelqu'un s'y reconnait...

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